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Podcast Choses à Savoir TECH
Choses à Savoir
Tout ce qu'il faut savoir dans le domaine de la Tech et d'Internet. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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5 de 1025
  • Google contre-attaque pour ne pas vendre Chrome et Andoid ?
    Google pourrait bientôt vivre un séisme. Le géant du web, accusé d’abus de position dominante sur le marché de la recherche en ligne, pourrait être contraint de se séparer de certains de ses actifs clés : Chrome, son navigateur, et Android, le système d’exploitation mobile le plus utilisé au monde.Face à cette menace, Google tente de désamorcer la situation. Plutôt que de céder ses bijoux technologiques, la firme propose trois mesures pour apaiser les autorités américaines. Premièrement, elle s’engage à limiter les paiements effectués à Apple et Mozilla pour occuper une position prioritaire sur leurs navigateurs Safari et Firefox. Deuxièmement, elle reverrait ses accords de licence avec les fabricants de smartphones. Enfin, elle renégocierait ses contrats avec certains opérateurs de téléphonie mobile, afin de limiter la préinstallation systématique de ses services, comme le Google Play Store ou l’IA Gemini.Ces concessions pourraient réduire l’influence de Google sur le marché des navigateurs web et sur son propre écosystème Android. Mais elles suffiront-elles à convaincre ? Rien n’est moins sûr. Le gouvernement américain envisage des actions bien plus radicales, allant jusqu’à proposer de rendre les résultats de recherche de Google accessibles à ses concurrents, tels que DuckDuckGo. Une décision est attendue le 7 mars, et elle sera scrutée de près. Le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, souvent critique envers Google, pourrait compliquer la donne. Cependant, l’administration pourrait aussi chercher à protéger l’une des entreprises les plus influentes du pays. Dans tous les cas, l’avenir de Google et de son monopole sur Internet pourrait bien connaître un tournant décisif. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    1:52
  • Salvador : le Bitoin n'est plus la monnaie nationale ?
    C'est une page qui se tourne au Salvador. Trois ans après avoir fait sensation en adoptant le Bitcoin comme monnaie légale, aux côtés du dollar américain, le pays met un terme à cette expérimentation. Une décision qui s'inscrit dans un accord financier conclu avec le Fonds monétaire international (FMI), apportant un soutien de 1,4 milliard de dollars pour alléger une dette publique dépassant les 85 % du PIB en 2024.La fameuse "Ley Bitcoin", instaurée en septembre 2021, subit une refonte complète. Alors qu’elle imposait aux commerçants d'accepter le Bitcoin comme moyen de paiement, cela devient désormais une option facultative. Autre changement notable : les impôts, auparavant payables en cryptomonnaie, devront désormais être réglés exclusivement en dollars. Le gouvernement prévoit également une réduction progressive de son portefeuille numérique officiel, limitant les transactions en Bitcoin.Pour beaucoup, cet abandon n’est pas une surprise. Selon un sondage récent, 92 % des Salvadoriens ne se servent pas du Bitcoin dans leurs transactions quotidiennes. Pourtant, l’initiative avait suscité l’intérêt des investisseurs et des touristes à ses débuts. Mais les retombées économiques promises par le président Nayib Bukele n’ont jamais vu le jour, et la volatilité du Bitcoin a aggravé la situation financière du pays. Début octobre, le FMI avait d'ailleurs recommandé une réduction de l’exposition publique à la cryptomonnaie et un renforcement du cadre réglementaire. Ces préconisations semblent avoir scellé le sort de la "Ley Bitcoin". Le pari audacieux de Nayib Bukele de faire du Salvador un pionnier du Bitcoin s’achève sur un constat d’échec. Une initiative qui restera dans l’histoire comme un exemple des risques liés à l’adoption massive de cryptomonnaies dans un cadre national. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:01
  • Comment jouer à Squid Game sur Google ?
    Avis aux fans : la saison 2 de Squid Game débarque le 26 décembre sur Netflix. Pour promouvoir son show phare, la plateforme joue la carte de l’interactivité en collaborant avec Google. Résultat ? Un mini-jeu caché dans le moteur de recherche, dans la lignée des fameux "easter eggs" de Google.Pour y accéder, tapez simplement "Squid Game" sur Google. Un panneau marron apparaît en bas de la page. Cliquez, et vous voilà plongé dans une version revisitée du fameux jeu de la petite fille : 1, 2, 3, soleil. Dans la série, cette épreuve emblématique est fatale pour les candidats. Ici, grâce à deux boutons, vous devez avancer vos personnages lorsque la poupée est de dos et les arrêter avant qu’elle ne se retourne. Une manière ludique de patienter avant l’arrivée des nouveaux épisodes.Cette saison 2 est cruciale pour Netflix, qui peine à maintenir ses abonnés. En cause : la baisse du public jeune, des hausses de tarifs, et une concurrence féroce avec des plateformes comme HBO Max. L’objectif ? Attirer de nouveaux abonnés et convaincre les anciens de rester, même si certains se contenteront sans doute d’un abonnement éphémère, juste pour visionner cette suite. Après un hiatus de trois ans, cette nouvelle saison comprendra 7 épisodes, moins que les 9 du premier volet. Pourquoi ? Le créateur de la série, Hwang Dong-hyuk, explique avoir écrit les saisons 2 et 3 simultanément. La production a également été menée en parallèle, avec une conclusion prévue pour 2025, qui mettra un terme à l’un des plus gros succès de Netflix. Un retour sanglant, certes, mais une attente toujours intacte pour cette série devenue phénomène mondial. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    1:56
  • Pourquoi le nom David Mayer fait planter ChatGPT ?
    Bug ou censure ? ChatGPT, le célèbre chatbot d’OpenAI, suscite la curiosité ce week-end après une découverte surprenante. Plusieurs utilisateurs ont constaté que mentionner le nom « David Mayer » dans une conversation provoque un blocage immédiat ou un message d’erreur. Fait intrigant, ce phénomène se produit même si le nom est intégré dans un contexte ou inversé.Ce dysfonctionnement alimente déjà les théories du complot. Selon certains, David Mayer serait une figure censurée par l’IA, notamment en raison d’un lien supposé avec les banquiers Rothschild, souvent pris pour cible dans des récits antisémites. Mais ce n’est pas un cas isolé. Le site 404media rapporte que d’autres noms, comme « Jonathan Zittrain » ou « Jonathan Turley », déclenchent également des messages d’erreur. Ces noms appartiendraient à des professeurs de droit américains ayant critiqué ChatGPT et les intelligences artificielles dans leurs travaux.Comment expliquer ce phénomène ? Une hypothèse avancée par Justine Moore, chercheuse en IA, évoque le droit à l’oubli, inscrit dans le RGPD européen. Des personnalités ayant demandé la suppression de leurs données pourraient ainsi figurer dans une liste noire, générant ces blocages. Une autre théorie suggère que certains noms, comme Jonathan Zittrain, pourraient correspondre à des pseudonymes de figures dangereuses, membres d’organisations terroristes. Ces spéculations rappellent que ChatGPT, bien qu’impressionnant, reste sujet à des « hallucinations », ces réponses erronées dues à des biais dans l’entraînement de l’IA. Pour l’heure, OpenAI n’a pas fourni d’explication officielle, laissant les interrogations ouvertes. En attendant des réponses claires, ces incidents mettent en lumière les défis techniques et éthiques liés à l’utilisation de l’IA, où la transparence est plus cruciale que jamais. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:03
  • Une IA entraînée avec vos données médicales ?
    Elon Musk s’attaque à un nouveau domaine : la médecine. Le milliardaire incite les utilisateurs de X (anciennement Twitter) à partager leurs résultats d'examens médicaux sur la plateforme pour entraîner Grok, le chatbot d'intelligence artificielle développé par xAI. Une démarche audacieuse qui ambitionne de révolutionner le diagnostic médical, mais qui suscite de vives critiques, notamment sur la fiabilité des analyses et la protection des données personnelles.« Soumettez vos radiographies, IRM ou PET scans à Grok pour analyse », a-t-il tweeté. Si certains témoignent d’analyses réussies, comme l’interprétation correcte de résultats sanguins ou l’identification d’un cancer du sein, d’autres exemples sont beaucoup moins flatteurs. Confondre tuberculose et hernie discale, ou interpréter une mammographie comme une image de testicules, illustre les limites actuelles de cette IA.Le Dr Laura Heacock, experte en imagerie médicale à l’université de New York, critique : « Les systèmes d’IA non génératifs restent plus fiables que Grok pour analyser des images médicales. » De son côté, Ryan Tarzy, PDG d’Avandra Imaging, dénonce un développement rapide, mais au détriment de la qualité et de la représentativité des données. Au-delà des erreurs techniques, les inquiétudes se concentrent sur la confidentialité. X n’est pas soumis aux protections HIPAA, l’équivalent américain du RGPD européen. Pour Matthew McCoy, professeur d’éthique médicale à l’université de Pennsylvanie, partager ses données sur une plateforme sociale reste une idée risquée : « Je ne serais absolument pas à l’aise de le faire. ». Malgré ses investissements colossaux – 6 milliards de dollars levés pour xAI –, Elon Musk fait face à des défis titanesques. Si l’IA promet de transformer la médecine, entre erreurs, éthique et vie privée, le chemin vers des diagnostics fiables et sécurisés semble encore long. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    1:57

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