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Choses à Savoir
Tout ce qu'il faut savoir dans le domaine de la Tech et d'Internet. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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5 de 1075
  • Déjà la 6G en 2025 ?
    À quelques jours du Mobile World Congress 2025 de Barcelone, Qualcomm frappe fort en dévoilant ses ambitions pour la 6G. John Smee, vice-président senior de l’ingénierie chez le géant américain des semi-conducteurs, qualifie 2025 d’année clé, marquant le début de la standardisation officielle de cette nouvelle génération de réseaux. Une annonce qui peut surprendre, alors que la 5G n’a pas encore atteint son plein potentiel.Qualcomm n’attend pas. Sa stratégie repose sur une intégration massive de l’intelligence artificielle (IA) dans les réseaux et les appareils. L’entreprise travaille déjà avec Nokia Bell Labs et Rhode & Schwarz pour démontrer les avantages des réseaux optimisés par l’IA. L’objectif ? Rendre les réseaux plus intelligents et plus adaptatifs, capables de réagir en temps réel à la charge du trafic, à l’interférence et à la mobilité des utilisateurs. Cette approche repose sur des protocoles natifs d’IA, qui permettront d’optimiser les performances réseau en fonction des applications et des besoins individuels. Une avancée qui profitera également à la 5G Advanced, lancée l’an dernier avec la version 3GPP Release 18, et qui constitue une étape intermédiaire avant l’arrivée de la 6G.Qualcomm mise aussi sur l’évolution des systèmes MIMO (Multiple Input Multiple Output) pour exploiter une nouvelle bande de fréquences, la FR3, située entre 7 et 15 GHz. Cette bande intermédiaire pourrait offrir jusqu’à 400 MHz de bande passante supplémentaire, avec des débits améliorés et une couverture comparable aux fréquences inférieures à 7 GHz. Les premiers tests du système Giga-MIMO FR3 sont prometteurs : ils montrent des gains significatifs en vitesse et en couverture. De son côté, Samsung et Arm, qui planchent aussi sur la 6G, estiment que cette nouvelle technologie pourrait atteindre des vitesses records de 1 térabit par seconde grâce au traitement parallèle de poche. Positionnée entre la bande FR1 (sub-6GHz) et la bande FR2 (au-dessus de 24 GHz), la FR3 se distingue par sa faible latence, son adaptabilité aux objets connectés (IoT) et sa capacité à transmettre des volumes massifs de données. Avec cette feuille de route, Qualcomm entend bien façonner l’avenir de la connectivité mobile et prendre une longueur d’avance dans la course à la 6G. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:18
  • Internet ultra-rapide partout sur Terre grâce à la 5G spatiale ?
    Et si l’accès à Internet ne connaissait plus de frontières ? La start-up française Constellation Technologies & Operations (CTO) pourrait bien ouvrir une nouvelle ère pour les télécommunications. Ce vendredi 28 février, l’entreprise a dévoilé une innovation qui pourrait transformer la connectivité spatiale : la première charge utile régénérative 5G millimétrique.Baptisée « Early Test », cette technologie utilise pour la première fois le spectre 5G mmWave depuis l’espace. Concrètement, elle permettrait d’offrir un accès à Internet ultra-rapide et à faible latence, même dans les régions les plus isolées, sans nécessiter d’infrastructures terrestres coûteuses. La 5G millimétrique (mmWave), qui exploite des fréquences élevées (24-100 GHz), est déjà reconnue pour ses débits exceptionnels et sa réactivité, idéale pour les usages intensifs en données. Jusqu’ici limitée aux zones denses à cause de sa faible portée et de sa sensibilité aux obstacles, cette technologie pourrait, grâce à CTO, s’affranchir des contraintes géographiques en passant par l’espace.Testée dans des conditions réelles, la charge utile de CTO a été intégrée avec succès à la plateforme ION de D-Orbit. Son lancement est prévu pour juin prochain, marquant une étape décisive dans la conquête de la connectivité universelle. L’ambition de CTO ne s’arrête pas là : devenir un acteur clé des services de connectivité spatiale et renforcer l’autonomie européenne dans ce secteur stratégique. Pour financer son développement, la start-up a levé plusieurs millions d’euros en moins de six mois et s’appuie sur une équipe de 30 experts issus du spatial et des télécoms.Contrairement aux constellations massives développées par certains acteurs, CTO mise sur un modèle collaboratif. Son infrastructure spatiale sera partagée avec les opérateurs télécoms, qui pourront ainsi étendre leur couverture sans lourds investissements. Une solution particulièrement adaptée aux zones rurales et isolées, où les réseaux terrestres restent difficiles à rentabiliser. Charles Delfieux, CEO de CTO, insiste sur l’importance de cette avancée : « C'est une brique fondamentale pour bâtir une infrastructure spatiale de télécommunications de nouvelle génération ». Avec cette innovation, la France pourrait bien s’imposer comme un pionnier d’un Internet sans frontières, accessible partout sur la planète. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:13
  • Amazon va maîtriser l'informatique quantique avec sa puce Ocelot ?
    Amazon frappe un grand coup dans la course à l’informatique quantique. Le 27 février 2025, le géant américain a dévoilé Ocelot, une nouvelle puce développée par son centre AWS de calcul quantique en collaboration avec le California Institute of Technology. Son atout majeur ? Une architecture révolutionnaire intégrant des « qubits de chats », une technologie qui pourrait bien marquer une avancée décisive dans la correction d’erreurs quantiques, principal obstacle au développement des ordinateurs quantiques. Dans l’univers quantique, les qubits sont ultra-sensibles aux perturbations extérieures, rendant leur stabilité difficile à maintenir. Jusqu’à présent, les techniques de correction d’erreurs nécessitaient d’énormes ressources, freinant l’industrialisation de l’informatique quantique. Avec Ocelot, AWS adopte une approche radicalement différente : intégrer la correction d’erreurs directement au cœur de la conception des qubits.Les qubits de chats, inspirés de la célèbre expérience de Schrödinger, permettent de réduire naturellement certaines erreurs, limitant ainsi les besoins en correction supplémentaire. Pour la première fois, cette technologie est associée à d’autres composants de correction d’erreurs sur une micropuce fabriquée à grande échelle. Ocelot se compose de deux micropuces en silicium, chacune de 1 cm², et intègre 14 composants clés, dont cinq qubits de données et quatre qubits détecteurs d’erreurs.D’après Oskar Painter, directeur du matériel quantique chez AWS, cette avancée pourrait accélérer de cinq ans l’arrivée d’ordinateurs quantiques tolérants aux pannes. « Ce n’est plus une question de savoir si ces machines verront le jour, mais quand elles seront opérationnelles pour des applications concrètes », affirme-t-il. Autre avantage : la réduction des coûts. Grâce à sa conception innovante, Ocelot pourrait être cinq fois moins cher que les architectures actuelles, rendant l’informatique quantique plus accessible. Un atout de taille face aux concurrents Google Cloud et Microsoft Azure.Si cette avancée se confirme, les impacts seraient majeurs dans la découverte de nouveaux médicaments, la création de matériaux innovants ou encore la modélisation financière. AWS mise déjà sur cette démocratisation via Amazon Braket, son service cloud dédié à l’informatique quantique. En parallèle, la firme poursuit sa stratégie d’indépendance technologique, notamment face à NVIDIA, en développant ses propres puces, comme Tranium3 pour l’intelligence artificielle. Avec Ocelot, AWS s’offre une longueur d’avance qui pourrait rebattre les cartes du marché du cloud et de l’informatique quantique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:38
  • Pourquoi les pays interdisent-ils l’IA Deepseek ?
    L'irruption de DeepSeek, une start-up chinoise, dans le domaine des chatbots a stupéfié l'industrie technologique mondiale. Son robot conversationnel R1 rivalise directement avec les géants américains de l’IA, mais à un coût bien moindre. Cependant, ce succès fulgurant a rapidement provoqué des tensions internationales, certains gouvernements invoquant des risques pour la sécurité nationale et la protection des données sensibles.L'Italie a été la première à réagir, interdisant à DeepSeek de traiter les données personnelles des utilisateurs italiens, après une enquête sur le fonctionnement de la start-up. En 2023, l'Italie avait déjà temporairement bloqué ChatGPT d'OpenAI pour des raisons similaires. L'Italie n'est pas la seule à se méfier : Taïwan, l'Australie et la Corée du Sud ont emboîté le pas, restreignant l'accès à DeepSeek pour leurs fonctionnaires et sur des infrastructures sensibles, comme les PC militaires. En février, la Corée du Sud a également retiré l'application de ses boutiques d'applications locales, en attendant de clarifier les pratiques de gestion des données de l'entreprise.Aux États-Unis, un projet de loi a été proposé pour interdire l'utilisation de DeepSeek sur les appareils du gouvernement. Selon Darin LaHood, représentant américain, la start-up serait une « entreprise affiliée au Parti communiste chinois », soulevant des préoccupations sur la cybersécurité. Les conditions générales de DeepSeek indiquent que l’entreprise pourrait être amenée à partager des données personnelles, y compris des informations sensibles sur les frappes au clavier. En Chine, lorsque le gouvernement exige des données, les entreprises doivent s'y conformer, ce qui alimente les préoccupations concernant la vigilance de l'État.Malgré ces controverses, Pékin défend fermement sa position, affirmant que le gouvernement chinois « n'exigera jamais des entreprises ou des individus qu'ils collectent illégalement des données ». Selon Youm Heung-youl, spécialiste de la sécurité des données, ces tensions montrent que la Chine a massivement investi dans la recherche et le développement technologique, et se place aujourd'hui comme un acteur majeur du secteur. DeepSeek n’a pas utilisé de puces ultra-performantes, mais des H800 plus accessibles, ce qui prouve, selon certains experts, que des logiciels bien conçus peuvent rivaliser avec des infrastructures plus coûteuses. Park Seung-chan, professeur en économie chinoise, y voit un coup stratégique, annonciateur de futures vagues d'innovation qui pourraient redéfinir l'industrie mondiale des semi-conducteurs, dominée par des pays comme Taïwan et la Corée du Sud. Dans cette nouvelle course à l'IA, DeepSeek illustre les enjeux géopolitiques et commerciaux qui s’imposent dans la technologie de demain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:44
  • Netflix se lance dans les podcasts ?
    Après avoir lancé Netflix Gaming en 2021, le géant du streaming pourrait bientôt s’aventurer sur le terrain des podcasts, selon Business Insider. Mais attention, il ne s’agirait pas de simples enregistrements audio. Netflix envisagerait de produire des émissions vidéo basées sur des débats, rappelant davantage les talk-shows que les podcasts traditionnels.La plateforme aurait déjà contacté des agents artistiques pour recruter des talents du podcasting capables d’animer ces émissions. L’objectif ? Diversifier son catalogue tout en réduisant les coûts de production. En effet, selon un agent artistique cité par Business Insider, cela permettrait à Netflix d’obtenir « un volume incroyable de contenu pour une fraction du coût » par rapport aux productions scénarisées.Deux stratégies semblent envisagées : accorder des licences de diffusion sans exclusivité, ou produire du contenu original en collaboration avec des podcasteurs déjà populaires. Ce virage stratégique arrive alors que Netflix continue de gagner des abonnés. En 2024, la plateforme a enregistré 19 millions de nouveaux abonnés. En misant sur les podcasts vidéo, Netflix pourrait attirer encore plus d’utilisateurs en quête de contenu inédit et varié. Une diversification payante ? Seul l’avenir le dira. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    1:42

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